Petite bibliothèque de poésie... Après m'avoir fait tant mourir
Libertin au verbe haut, Théophile de Viau s'exila à Londres quand le parti dévot l'accusa de publier -des vers indignes d'un chrestien tant en croïance qu'en saletez.- De retour à Paris, il est condamné au bûcher pour -crime de lèse-majesté divine-. Emprisonné deux ans, sa peine est commuée en bannissement à perpétuité. A peine libéré, il meurt d'épuisement. Son œuvre est à son image : risquée, provocante, tragique et sensuelle. [Résumé éditeur]
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