En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Moulin (J.) 5 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q

Jacques Moulin


Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Cote : LIT.4.MOU

Ce poème est né d'une résidence à Uffholtz, en l'Abri-mémoire, sur le thème de la fortification. L'auteur part de ce mot, le désigne, lui donne une consistance, qui est autant celle de la matière, de la construction, que celle du poème en écriture. Selon Jacques Moulin, les falaises, les forteresses aident aussi à se mettre debout comme le poème qu'on vivifie. Le poète nous offre ici un parcours en réflexion sur les notions de mémoire, de passage vers l'autre, de vis-à-vivre, d'identité et de porosité. [Résumé éditeur]
Ce poème est né d'une résidence à Uffholtz, en l'Abri-mémoire, sur le thème de la fortification. L'auteur part de ce mot, le désigne, lui donne une consistance, qui est autant celle de la matière, de la construction, que celle du poème en écriture. Selon Jacques Moulin, les falaises, les forteresses aident aussi à se mettre debout comme le poème qu'on vivifie. Le poète nous offre ici un parcours en réflexion sur les notions de mémoire, de ...

poésie ; 21e siècle ; littérature régionale ; Haut-Rhin : département ; fortification

Sélection Partager
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

- n° 22
Cote : LIT.4.MOU

A la fenêtre du Transsibérien, c'est le journal d'un regard en voyage, un travelling bruyant qui tend la main aux arbres, aux graminées, aux fleurs sauvages, aux steppes allongées ; côtoie des hommes et fait chaîne avec eux derrière le carreau en écoutant la prose du train. Un journal du regard qui s'écrit de façon résolument poétique, au quotidien des rails et des jours, dans l'étonnement de ce qui s'ouvre à travers la vitre qui avance. Un journal qui pousse sa phrase comme on pousserait un vers sans retourner à la ligne, ce que font les trains progressant sans fin dans le bruit des fers et du ballast, dans la cadence métallique des locomotives au poitrail étoilé, dans les silences du samovar qui retient son eau chaude ; dans les arrêts qui empliront ou videront les quais. C'est un journal de cabine habitée jour et nuit, de Moscou à Pékin en passant par le lac Baïkal et Oulan Bator. De temps à autre, surgit dans la prose un court poème rythmé - entre refrain et haïku - comme autant de traverses de chemin de fer ou d'interstices entre deux rails. Tout défile, déambule, défait et refait le tissu des choses et des hommes. On embrasse du regard la Sibérie des tourbières et du bouleau, la Mongolie des steppes, la Chine du loess et la cohue des vivants. On est du train. Dans le train. On grandit dans l'espace. On lui appartient. On est dans la pulsion du monde. [Résumé éditeur]
A la fenêtre du Transsibérien, c'est le journal d'un regard en voyage, un travelling bruyant qui tend la main aux arbres, aux graminées, aux fleurs sauvages, aux steppes allongées ; côtoie des hommes et fait chaîne avec eux derrière le carreau en écoutant la prose du train. Un journal du regard qui s'écrit de façon résolument poétique, au quotidien des rails et des jours, dans l'étonnement de ce qui s'ouvre à travers la vitre qui avance. Un ...

poésie ; littérature régionale ; aventure : voyage

Sélection Partager
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Entre les arbres Moulin (J.) | Empreintes 2012 - 83 p.

Ouvrage

Cote : LIT.4.MOU

Avec Jacques Moulin, on bascule d'abord un peu.
Foison : de l'arbre et du filin.
Du mot comme de la tourbe et du geste.
Entre les arbres : antre de l'interstice où tout bouge encore.
... Et ces cheveux qui passent et qu'une main remue...
Puis un pas qui s'essaie jusqu'au mourir debout.
Et s'il s'agissait de monter aux mélèzes tous feux éteints ?
Quelque chose crisse, frémit, tremble.
Alors demeure ou ne demeure pas entre les arbres une nuit cerise.
Mira Wladir
[Résumé éditeur]
Avec Jacques Moulin, on bascule d'abord un peu.
Foison : de l'arbre et du filin.
Du mot comme de la tourbe et du geste.
Entre les arbres : antre de l'interstice où tout bouge encore.
... Et ces cheveux qui passent et qu'une main remue...
Puis un pas qui s'essaie jusqu'au mourir debout.
Et s'il s'agissait de monter aux mélèzes tous feux éteints ?
Quelque chose crisse, frémit, tremble.
Alors demeure ou ne demeure pas entre les arbres une nuit ...

poésie ; 21e siècle ; littérature régionale

Sélection Partager
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Cote : LIT.4.MOU

L'oiseau traverse nos vies nos balcons nos regards. Le rendez-vous est quotidien et on voudrait l'écrire. On répertorie son geste d'envol. On attend que ça entre un peu en soi. On dresse un piège à poèmes. On écoute l'oiseau chanter encore. Etirement dans l'étendue de la page. Héron ou martinet. Quelques corvidés. La pie aussi. Circulation des flux jusqu'en nos dedans : on se relie. Le peintre, dans un grand geste d'air cueillant et l'oiseau et l'arbre, nous accompagne. [Résumé éditeur]
L'oiseau traverse nos vies nos balcons nos regards. Le rendez-vous est quotidien et on voudrait l'écrire. On répertorie son geste d'envol. On attend que ça entre un peu en soi. On dresse un piège à poèmes. On écoute l'oiseau chanter encore. Etirement dans l'étendue de la page. Héron ou martinet. Quelques corvidés. La pie aussi. Circulation des flux jusqu'en nos dedans : on se relie. Le peintre, dans un grand geste d'air cueillant et l'oiseau et ...

poésie ; 21e siècle ; littérature régionale

Sélection Partager
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Portique Moulin (J.) ; Loubert (A.) | L'Atelier contemporain 10/2014 - 59 p.

Ouvrage

Cote : LIT.4.MOU

Un échafaudage permanent de conteneurs qui se balancent à hauteur d'immeubles entre les pinces des portiques. Dans les grincements des poulies et les effluves de cambouis. Docks et dockers. Le corps à l'épreuve du fer. Un ballet de cavaliers hauts sur pneus alimente les grues qui alimentent les plateformes des porte-conteneurs. C'est mécanique parallélépipédique tendu précis comme un poème. L'accès aux ports comme un chemin pour le poème. Le poème conduit au risque de la technique pour creuser son effet de balancement sur le quai la page. Un poème-portique s'écrit. Les mots sont dans les boîtes. Chaque boîte fait un poème. Le poème-portique visite le monde et l'histoire cherche la langue des ports. Ne marchande pas. Le porte-conteneur fait glisser le poème. Le portiqueur cherche l'ange. Le peintre l'accompagne. L'élévation du geste jusqu'au pourtour des grues. [Résumé éditeur]
Un échafaudage permanent de conteneurs qui se balancent à hauteur d'immeubles entre les pinces des portiques. Dans les grincements des poulies et les effluves de cambouis. Docks et dockers. Le corps à l'épreuve du fer. Un ballet de cavaliers hauts sur pneus alimente les grues qui alimentent les plateformes des porte-conteneurs. C'est mécanique parallélépipédique tendu précis comme un poème. L'accès aux ports comme un chemin pour le poème. Le ...

poésie ; 21e siècle ; littérature régionale

Sélection Partager

Filtrer

Référence

Dossiers