Cote : CIV.323.DOU
Avant 12 jours, les personnes hospitalisées en psychiatrie sans leur consentement sont présentées en audience. D'un côté un juge, de l'autre un patient, entre eux naît un dialogue sur le sens du mot liberté et de la vie.
Autrefois, la décision d'hospitaliser une personne contre son gré reposait sur le seul psychiatre. En 2013, la loi les a obligés à soumettre au juge des libertés leurs décisions. Raymond Depardon filme pour la première fois la mise en application de cette loi qui rend publique une parole autrefois réservée aux psychiatres. Une parole qui témoigne de l'histoire intime mais aussi, à sa façon, de l'histoire politique, sociale et morale de la France.
[Résumé éditeur]
Complément : entretien avec Raymond Depardon et Claudine Nougaret réalisé par Simon Depardon (23 mn)
Avant 12 jours, les personnes hospitalisées en psychiatrie sans leur consentement sont présentées en audience. D'un côté un juge, de l'autre un patient, entre eux naît un dialogue sur le sens du mot liberté et de la vie.
Autrefois, la décision d'hospitaliser une personne contre son gré reposait sur le seul psychiatre. En 2013, la loi les a obligés à soumettre au juge des libertés leurs décisions. Raymond Depardon filme pour la première fois la ...
France ; psychiatrie ; hospitalisation ; procédure judiciaire ; film documentaire