Cote : LIT.13.VIA
Si le roman a conquis sa puissance et sa légitimité sous l'ombre tutélaire des grands romanciers du XIXe siècle, c'est au cours du XXe siècle qu'il s'impose comme genre majeur. Toujours en quête de nouveaux territoires, il rivalise alors avec la philosophie, s'avance aux confins de la poésie, se confronte à la psychanalyse, à l'essai ou à l'autobiographie. Les écrivains s'interrogent sur ses formes, récusent les anciennes et en inventent d'inédites, quitte à se défaire pour cela de ce qui semblait le constituer : personnage, intrigue, récit...
L'auteur analyse ici l'infinie plasticité d'un genre toujours en mouvement. Il fait apparaître les débats esthétiques et critiques qui ponctuent son histoire du naturalisme au nouveau roman, de l'existentialisme à la littérature contemporaine. Car, plus que les thèmes du roman, les circonstances de son élaboration ou la biographie de son auteur, ce sont les enjeux, les choix esthétiques et les problématiques de l'écriture qui définissent un roman. [Résumé éditeur]
Si le roman a conquis sa puissance et sa légitimité sous l'ombre tutélaire des grands romanciers du XIXe siècle, c'est au cours du XXe siècle qu'il s'impose comme genre majeur. Toujours en quête de nouveaux territoires, il rivalise alors avec la philosophie, s'avance aux confins de la poésie, se confronte à la psychanalyse, à l'essai ou à l'autobiographie. Les écrivains s'interrogent sur ses formes, récusent les anciennes et en inventent ...
roman (forme littéraire) ; critique ; 20e siècle