La journée du 10 mai 2000, sur le site Tolbiac de la BnF, a permis de poser la question : " Les nouvelles technologies modifient-elles l'enseignement de la langue, notamment dans les activités de lecture et d'écriture ? " Universitaires, chercheurs du CNRS, inspecteurs et formateurs de l'Éducation nationale, enseignants, responsables de la BnF, journalistes… ont tenté d'articuler l'évaluation de ce qui se passe réellement dans les classes avec la réflexion théorique.
Le présent ouvrage, qui prolonge la journée d'étude, dans son contenu et ses intentions, se veut une contribution à la réflexion sur la mise en place, à plus grande échelle, des technologies de l'information et de la communication, envisagées non comme des objets prestigieux et des instruments miraculeux, mais comme de nouvelles voies d'accès aux documents écrits, souvent enrichis d'images et de sons, et comme de nouveaux instruments d'écriture.
L'originalité de cette rencontre « Lecture-écriture et nouvelles technologies » est de faire appel à des auteurs d'origines variées : universitaires, chercheurs du CNRS, inspecteurs et formateurs de l'Éducation nationale, enseignants, responsables de la Bibliothèque nationale de France, journalistes… Il est ainsi possible d'articuler l'évaluation de ce qui se passe réellement dans les classes avec la réflexion théorique sur l'intégration des nouveaux outils dans la didactique de la lecture et de l'écriture et, d'une manière plus large, sur la communication écrite liée au développement de nouveaux supports numériques de l'écrit.
L'ouvrage, destiné à répondre aux questions que se posent les lecteurs sur l'avenir de la culture de l'écrit, dans les apprentissages comme dans les usages sociaux, reprend les thèmes abordés le 10 mai :
– L'avenir de l'écrit et de la lecture ;
– Écrire avec les technologies d'information et de communication, outils et contextes d'apprentissages ;
– Enquêtes sur les pratiques à l'école.
Une annexe est consacrée aux sites Web scolaires.

Exemplaires